Syndrome de Stockholm 03

Charlotte est allongée sur son lit, enfermée dans sa chambre par son ex-amie Hélène et par l’homme qu’elle ne connaît que sous le nom de “Maître”. Elle pense aux évènements passés. N’y
a-t-il vraiment que deux jours qu’elle a été enlevée dans sa propre rue? Empaquetée dans une camionnette, attachée, bâillonnée et emmenée dans les sous-sols privés de ce petit manoir.
Déshabillée, fouettée vicieusement sur les fesses, l’anus et le sexe par la femme qu’elle a toujours considérée comme une bonne amie, puis amenée à l’orgasme par la même femme, dans son premier contact lesbien. Puis forcée de confier ses secrets les plus intimes avec l’aide d’un testeur d’isolement électrique.
Maintenant, elle est seule dans sa chambre et apprécie une douche chaude réconfortante. Comme ils l’ont promis, le plateau de nourriture fourni est délicieux et le verre de vin
est le bienvenu. Épuisée, elle s’endort.
À sept heures précises, elle se réveille au bruit fait par le raclement d’une tasse à thé contre une soucoupe, et la servante qui apporte dans la chambre un plateau contenant une théière en porcelaine fine. Elle émerge petit à petit, le cerveau en ébullition. Que fait-elle dans ce lit? Puis les souvenirs de la veille reviennent, le fouet, son excitation, son orgasme gênant entre les mains et la langue d’Hélène, celle qui l’a trahie. Que lui réserve aujourd’hui? Sur un ton amical, la servante lui dit poliment :
« Bonjour Miss, j’espère que vous avez bien dormi. »
Charlotte fait signe que oui.
« J’apporterai votre petit déjeuner dans votre chambre à huit heures, puis vous êtes attendue au salon à neuf heures et demie. Je viendrai vous chercher. »
Elle quitte la pièce. Charlotte entend la clé tourner dans la serrure.Le thé est délicieusement rafraîchissement. Elle n’est pas surprise de voir que la tasse est en porcelaine et que les quelques feuilles qui sont passées de la théière dans la passoire sont grandes et verdâtres. Au goût délicat, elle pense que c’est du Darjeeling. Elle murmure :« Au moins, ils savent faire le thé. »
À huit heures, elle s’est douchée et a revêtu la courte robe blanche toute simple qu’elle a trouvée dans le placard. Bien sûr, il n’y a pas de sous-vêtements, seulement des bas et un porte-jarretelles rouge vif, et cette fois, elle s’assure de mettre le collier d’esclave autour de son cou. En cuir noir, il
est doux à l’intérieur, et plusieurs anneaux en D y sont insérés. Elle frissonne en pensant à quoi ils peuvent servir. Elle le boucle confortablement autour de son cou, il contraste joliment avec sa
peau blanche. Des chaussures rouges achèvent sa tenue — elle n’a pas du tout l’habitude de porter des talons de huit centimètres, et certainement pas le matin.
Le petit déjeuner arrive exactement à huit heures quinze, bacon, œufs brouillés, toasts de pain complet, marmelade et une autre théière. Charlotte est tout à fait prête et le mange jusqu’à la dernière miette. Il est maintenant temps pour elle de se préparer à affronter la journée!
Un rien de maquillage, un soupçon de parfum sur ses mamelons, sa chatte et son trou du cul. A-t elle oublié quelque chose? Elle ne trouve rien.
À neuf heures vingt-neuf, la clé tourne dans la serrure et la servante entre. Charlotte pense :
“C’est dingue. C’est une jeune fille amicale et je ne connais pas son nom.”
« S’il vous plaît, comment puis-je vous appeler?
– C’est Jane, Miss, répond-elle.
– S’il vous plaît, appelez-moi Charlotte ; nous pourrions être amies.
– Oh non, Mademoiselle, jamais je ne pourrai faire ça, mais je vous remercie. Suivez-moi, s’il vous plaît. »
Avec une appréhension croissante, Charlotte suit Jane qui la conduit de la chambre au salon où elle fut portée la veille, juste après son enlèvement. Le Maître l’accueille :
« Bonjour, j’espère que tu as bien dormi. Nous aimons que nos hôtes soient à l’aise. »
Elle remarque qu’il porte une robe de chambre en soie, sous laquelle il semble être nu. Il lui rappelle Noel Coward mais elle est sûre qu’il n’est pas homosexuel.
« Merci, oui, j’ai très bien dormi.
– Aujourd’hui, nous allons continuer ta formation. Dans les semaines qui viennent, tu vas apprendre à faire des choses que tu n’as jamais considérées comme possibles. Ta descente vers
la dépravation sera totale, et tu vas adorer ça. »
Elle blêmit. Quelles choses épouvantables ces gens veulent-ils lui faire faire? Sa question silencieuse reçoit rapidement une réponse :
« Nous avons un programme complet pour ta rééducation mais il ne sera divulgué qu’au jour le jour. Les leçons d’aujourd’hui seront très simples et élémentaires, car tu es encore une novice. Tu vas apprendre comment te servir de ton corps, de ta bouche, et de ta chatte. Pas seulement un coup rapide une fois par semaine, mais de longues séances avec plusieurs hommes, et à répétitions.
Il est possible que tu en reconnaisses certains. »Le cœur de Charlotte bat la chamade : des hommes qu’elle connaît? Comme cela va être gênant! Et c’est vrai, elle avait rationné trabzon escort son mari à un coup par semaine, mais le Maître ne pouvait vraiment pas le savoir. Le Maître continue :
Bien sûr, il y aura aussi des séances de fouet, nous ne voulons pas que ce soit trop agréable. Tu as un cul qui le réclame. »
Elle recule à cette nouvelle : encore de la douleur! Mais elle ressent aussi une certaine excitation dans sa chatte.
“Ne sois pas sotte! Pense-t-elle, “ce n’est pas possible.”
« Ce matin, je vais te prendre sur mes genoux et te donner la fessée que tu aurais dû recevoir depuis longtemps. Puis je vais te baiser, longuement, profondément et durement. Quel effet cela te fait-il d’entendre ça? »
Charlotte bégaie et balbutie, mais ne trouve pas les mots.
« Dois-je prendre cela pour un accord complet? Mais de toute façon, que tu sois d’accord ou non m’ai totalement égal. »
Il se déplace de quelques mètres et s’assoit sur une chaise droite, sans bras qui puisse gêner son bras droit.
« Viens ici et courbe-toi sur mes genoux. MAINTENANT! »
Le dernier mot est un ordre autoritaire dit d’une voix forte, et Charlotte n’imagine même pas désobéir, tant il y a de force et d’autorité dans la voix. Elle s’agenouille rapidement à côté de lui, puis se place sur ses genoux. Elle sent sa queue qui durcit sous la robe de chambre en soie, et elle sent l’ourlet de sa jupe glisser sur ses cuisses lorsqu’elle se penche en avant. Elle s’installe, les mains qui soutiennent son poids sur le tapis, et attend l’inévitable. Ce qu’elle n’a pas anticipé,
c’est que ses bras sont rudement tirés dans son dos et ses poignets menottés, ce qui la laisse complètement sans défense. Ses pieds battent dans l’air lorsqu’elle tombe en avant, n’étant plus soutenue. Bien sûr, cela pousse l’ourlet de sa jupe encore plus loin vers sa taille.
« Peut-être devrai-je attacher tes chevilles mais nous verrons comment ça se passe, dit la voix au dessus d’elle. Nous commençons par vingt fessées. Comme auparavant, je veux que tu les comptes, que tu me remercies à chaque fois, et que tu demandes un autre coup. Tu comprends?
– Oui Maître, s’il vous plaît, fessez-moi.
– Bon, comme tu demandes ça si bien, je suis content de l’admnistrée. »
Elle sent que sa jupe est rabattue sur sa taille et sait qu’il a une bonne vue sur son cul nu. Jusqu’à la nuit dernière, seul son mari avait vu cela, que penserait-il s’il la voyait à présent? La vulnérabilité de son derrière et de son sexe nus la font trembler et elle est surprise de ressentir un frisson d’excitation anticipée. Des doigts caressent son arrière-train, puis glissent entre ses jambes et entrent dans son sexe.
« C’est bon de sentir que ta chatte mouille pour moi, tu commences à comprendre que tu est une salope! Qu’en dirait ton mari? qu’il à une pute qui mouilles de se montrer à poil pour épouse? »
Charlotte frémit, toute gênée. Que dirait-il? Elle espère qu’il ne le saura jamais. Mais c’est vrai, elle est excitée. Il continue :
« Voyons si ton excitation résiste à une fessée. »
Sa main frappe sa fesse droite.
« J’attends, salope. »
Le choc et la douleur sont intenses. Qu’est-ce qu’il attend? Elle s’en souvient à temps.
« Un, merci Maître. S’il vous plaît, fessez-moi encore.
– C’est bien, salope. »
Elle remarque que “Charlotte” s’est transformée en “salope” mais n’ose rien dire. Des doigts trouvent leur chemin dans sa chatte et tordent doucement son clitoris, envoyant des vagues d’un plaisir diffus vers son cerveau. Soudain, les doigts sont partis et la main s’abat sur sa fesse gauche.
« Deux, merci Maître. S’il vous plaît, fessez-moi encore. »
Il la doigte encore, il joue à nouveau avec son clitoris. Elle adore ça. Elle aime la douleur, l’humiliation et les doigts en elle, là où seul son mari était déjà allé. Une vague d’excitation la submerge.
« Peut-être t’es-tu demandé pourquoi tu n’as pas de sous-vêtements à part des bas et un porte jarretelles rouge? C’est parce que ton cul est ainsi délicieusement encadré, et je projette de rendre ton cul blanc aussi rouge que les jarretelles. »
Elle est certaine que l’érection qu’elle sent sous elle a encore grandi pendant qu’il parlait. La fessée continue de la même façon tranquille pendant quinze coups. Après le quinzième, il dit : « Il est temps de changer. »
Il la fait se redresser et se mettre debout. La jupe retombe sur son postérieur tandis qu’il la conduit jusqu’à un haut tabouret rembourré. Il la penche dessus, de telle manière que sa tête soit près du sol, et attache l’anneau de son collier à un anneau près de la base du tabouret. Il prend les chevilles l’une après l’autre et les attache à des anneaux boulonnés au sol, en écartant largement ses jambes . Elle est à présent la tête en bas, les fesses relevées et tendues, avec ses jambes qui reposent à terre. Son sexe et son derrière sont largement ouverts, disponibles pour tout envahisseur, ou violeur.
« Jusqu’à présent, j’ai utilisé ma main. Pour les cinq derniers tunceli escort coups, j’emploierai une canne. Remarque la différence, j’utiliserai rarement ma main pour te fouetter à l’avenir. De plus, comme ton cul est grand ouvert, je l’utiliserai entre chaque coup. Après le dernier coup, tu seras fouettée écartelée sur le dos, et je te baiserai durement, jusqu’à ce que j’éjacule dans ta chatte. Lorsque j’aurai fini avec toi pour la journée, il y aura du temps pour se rafraîchir. L’après-midi et le soir, tu seras
occupée à être prise par des hommes du coin. je te l’est dis, il y en a que tu connais et je sais que l’envie de te ravager les démange depuis que tu es arrivée dans la région, il y a cinq ans. Ils pourront te baiser la chatte et la bouche mais pas le cul, cette prise sera à moi, lorsque le moment sera venu. Bon, on y va? »
Elle est si horrifiée qu’elle ne peut pas parler. Des doigts caressent à nouveau son clitoris et une langue plonge dans sa chatte trempée. Quelques instants plus tard, son derrière est en feu, lorsqu’une canne fine et cinglante s’abat vigoureusement en travers de ses deux fesses. Un cri perçant étranglé, suivi par :
« Seize! Merci Monsieur. S’il vous plaît, fessez-moi encore. »
Au lieu de ça, une grosse queue se fraye un chemin dans son sexe, mais elle est si mouillée qu’elle n’a pas besoin de beaucoup de force pour y parvenir. Jusqu’ici, seul son mari l’avait baisée. Elle rougit de honte, même si elle sait combien elle apprécie cette grosse bite bien ferme. Elle est attachée si serré qu’elle ne peut rien faire que de subir, et même si elle voulait participer en retour, les lanières ne le lui permettraient pas.
Aussi soudainement qu’il est arrivé, le dard la quitte. Le coup de canne suivant frappe son cul, un peu plus bas cette fois.
« Dix-sept! Merci Monsieur. S’il vous plaît, fessez-moi encore. »
Elle attend, espérant son sexe. Elle attend mais rien ne se passe. Plusieurs minutes passent en silence, hormis les gémissements de frustration de Charlotte, puis tout à coup, la verge est à
nouveau là. Profonde, grosse, dure. Quel bonheur! Elle bouge en elle, glissant aisément dedans et dehors, son clitoris est stimulé entre le pénis envahissant et le tabouret. Puis elle part, et le coup suivant arrive. Instinctivement, elle bouge ses fesses vers l’instrument de douleur et de plaisir… Le fouet et la baise continuent pendant encore plusieurs minutes. Après le vingtième coup, le Maître défait les lanières qui la retiennent, et la fait se lever. Il ordonne :
« Maintenant, à poil! Je te veux complètement nue pour la suite de la séance. »
En tremblant, elle détache les bas des jarretelles et les roule le long de ses jambes. Elle passe la robe au-dessus de sa tête, ne conservant que le porte-jarretelles rouge qu’elle se dépêche ensuite de retirer et qu’elle place avec les autres vêtements. Il la conduit jusqu’à un endroit où des coussins sont étalés sur le sol, et où des liens sont prédisposés. Il l’étend sur les coussins, en
dispose un supplémentaire sous son postérieur pour soulever son bassin, il attache des lanières à ses chevilles et ses poignets, et les assure solidement. Elle est ainsi sur le dos, réduite à l’impuissance, les bras et les jambes largement écartés. Ses mains et ses pieds sont au niveau du
sol, son torse est quinze centimètres au-dessus, et son derrière, à trente centimètres au-dessus, est le point focal de l’ensemble. Sa tête pend en arrière, elle touche le sol. Là, son collier d’esclave est attaché à un anneau fixé au sol. En enlevant sa robe de chambre, il lui dit :
« À présent, tu vas voir ce que c’est que ce faire vraiment sauter. »
Bien qu’elle ne puisse pas bouger la tête à cause des entraves, elle a conscience de la présence d’un homme d’âge moyen, la quarantaine pense-t-elle, musclé mais pas trop, un corps ferme et une grosse érection. Rasé de près, à la différence de son mari barbu. Maintenant qu’elle le voit nu, elle voit que sa bite est à la fois plus longue et plus épaisse que celle de son mari. Comment peut elle gérer cela? Même si son mari atteint son utérus. Elle va le découvrir bientôt.Il disparaît de son champ visuel restreint et elle se demande où il est passé. Quelques secondes plus tard, elle sent sa langue dans sa chatte, et ses lèvres qui pinçotent son clitoris. La douleur et l’humiliation de l’heure passée sont oubliées : elle veut être baisée MAINTENANT. Elle crie :
« Baisez-moi, Maître, baisez-moi!
– Pas tout de suite, ma petite garce, tu dois apprendre la patience. Je profite de ton goût, le goût d’une adorable et fraîche jeune femelle. l’arôme de ta chatte mouillée et brûlante est délicieux. »
Il lèche, suce et mordille pendant au moins un quart d’heure. À chaque fois qu’elle est sur le point de jouir, il se retire et la laisse se calmer. Elle se serait bien fait jouir elle-même mais elle est
maintenue immobile par ses liens. Un courant d’air frais passe sur son corps nu et ses jambes grandes ouvertes, elle n’a encore jamais rien ressenti uşak escort d’aussi érotique. Enfin il dit :
« MAINTENANT, on va y aller. »
D’une poussée soudaine, il entre jusqu’au bout. Elle n’a jamais ressenti rien de tel. Il appuie fort sur le col de son utérus, c’est douloureux mais excitant. Sa circonférence l’emplit complètement. Elle est si mouillée que sa lubrification est totale. Lentement d’abord, mais en prenant de la vitesse, il la baise sans arrêt pendant un quart d’heure, ne ralentissant que rarement. Maintes et maintes fois, elle parvient à l’extase, jusqu’à ce qu’il explose en elle, emplissant sa chatte de
sperme. Cela la conduit à un orgasme encore plus fort et elle se retrouve là, épuisée, alors qu’il est allongé sur elle, sa queue profondément enfoncée en elle. Ils restent ensemble plusieurs minutes, tous deux complètement épuisés. Pendant que Marianne se calme doucement, elle se souvient tout à coup de son mari. Comment peut-elle le trahir ainsi? Elle a été enlevée et violée, mais elle a eu les meilleurs orgasmes de sa vie. Elle doit faire en sorte qu’il ne sache jamais combien elle a apprécié les relations sexuelles forcées avec un autre homme. Le Maître s’agite :
« N’est tu pas une petite salope qui aime être fouettée et violée? Aucun des orgasmes que tu as hurlés ne fut simulé. Qu’en dirait ton mari?
– Mon Dieu, s’il vous plaît, qu’il ne le sache jamais! S’écrie Charlotte. »
Il sonne et Jane apparaît dans l’embrasure de la porte.
« Jane, ramenez cette salope dans sa chambre. Vous avez une demi-heure. Dans ce laps de temps, je veux qu’elle soit douchée, habillée dans une autre tenue, et de retour ici. Les menottes qu’elle porte à présent aux chevilles et aux poignets doivent désormais être portées en permanence. La punition pour retard ou tenue incorrecte sera partagée entre vous deux. Les rafraichissements pour vous deux seront pris dans la chambre de Charlotte. »
Il se retourne rapidement et sort de la pièce. Arrivé à la porte, il s’arrête, se retourne à moitié et ajoute :
« Oh, une chose encore Charlotte, tu seras heureuse d’apprendre que tes photos et vidéos de la séance d’hier ont bien été distribuées sur plusieurs sites, et les demandes commencent à arriver. Félicitations. Tu es sur la bonne voie pour devenir une catin célèbre sur la Toile. »
Et il referme la porte derrière lui. Charlotte blêmit et rougit en même temps. Mais Jane dit :
« Ça n’a pas d’importance. Il faut faire vite si nous voulons éviter la punition. »
Et ses doigts agiles défont rapidement les liens de celle-ci.
De retour dans la chambre, Jane et Charlotte ne perdent pas de temps pour préparer cette dernière pour sa séance de l’après-midi, avec la douche, la remise de parfum et de maquillage, le
coiffage de sa longue chevelure, l’habillage, la remise du collier d’esclave, et des menottes aux poignets et aux chevilles, le tout en attrapant quelques bouchées sur le plateau de sandwiches.
Jane se dirige vers la porte mais Charlotte lui dit :
« Attends, il faut que je fasse pipi.
– S’il vous plaît, Miss, dépêchez-vous, crie Jane avec une voix paniquée. »
Mais se voir demander d’uriner rapidement n’a pour résultat que de tout bloquer, et c’est ce qui se produit, il s’écoule trois minutes avant qu’elles ne quittent la chambre et lorsqu’elles
arrivent au salon, le Maître regarde sa montre en fronçant les sourcils :
« En retard. J’avais dit une demi-heure, pas trente-deux minutes. Néanmoins, le châtiment attendra que les divertissements de l’après-midi soient terminés. Du coup, il constituera celui de ce
soir, après le dîner. Jane, tu peux disposer à présent. Sois disponible à partir de sept heures et demie ce soir. »
Jane a l’air sur la défensive. Elle lance un regard noir à Charlotte et murmure :
« Oui Monsieur. »
Le Maître s’adresse à maintenant à Charlotte :
« Cet après-midi, nous continuons l’enseignement de base : être bien baisée. Tu as bien réussi ta première leçon ce matin, et je compte que tu feras de même cet après-midi. Tu fais même mieux, ou tu seras fouettée. La leçon de cet après-midi est une extension de celle de ce matin, tu vas être baisée par de nombreux hommes, que tu connais, certains que tu peux détester, et d’âges variés. Je compte que tu donneras à chacun les mêmes attentions. Ces mêmes assistants seront avec nous pour d’autres leçons à venir, je te suggère de ne pas te les mettre à dos!
Pour commencer, il y a quelque chose de plus dans ton programme d’entraînement. Ma sœur m’a demandé de trouver une femme pour son fils. Tu seras complètement habillée lorsque le premier invité arrivera. Il est jeune, sans expérience, et tu vas le séduire, le persuader de bonnes raisons pour qu’il te baise, qu’il emplisse ta moule avec son sperme. Tant qu’il sera avec toi, fais en sorte qu’il ait une expérience satisfaisante ou il y aura un problème.Ensuite, tu attendras tes invités dans l’antichambre. Ils te prendront en charge là pour t’emmener où ils veulent te troncher à leur guise. Ils peuvent vouloir t’attacher et tu devras le leur permettre. Ils n’auront pas l’autorisation de t’enculer, ce prix m’est réservé et j’en savoure d’avance l’idée, je pense que tu aspires aussi à ce délice, n’est-ce pas? En vérité, j’en doute mais cela n’a de toute façon pas d’importance. »